Pourquoi j’ai créé Leonis : mon histoire 🦁

 

Salut, c’est Gabriel Jarrosson, j’espère que tu vas bien. Aujourd’hui je fais à nouveau une vidéo relativement personnelle puisque je vais te parler de la genèse de mon projet, de pourquoi j’ai décidé de créer ce projet Leonis, qu’est-ce que c’est exactement, d’où c’est venu, voilà. Donc je vais te raconter un petit peu toutes les motivations derrière ça. Tu devrais apprendre un certain nombre de choses je l’espère. Avant de commencer évidemment, n’oublie pas de t’abonner à ma chaîne YouTube pour recevoir toutes mes vidéos, tous mes conseils d’investissement et prendre ton indépendance financière. C’est parti ! Tout commence en 2013 alors que j’étais en train de finir mon école d’ingénieur, l’ISEP et il s’est créé au sein de mon école un club de business angels qui s’appelait ISEP business angels et qui était ouvert à tous les anciens élèves et élèves et dont le but était d’investir dans les startups. À l’époque je n’avais jamais investi et je me suis dit tiens ça a l’air formidable et j’ai rejoint ce club. Et donc c’était très simple, on se réunissait tous les deux mois entre investisseurs et il y avait des startups qui venaient pitcher et on décidait si on voulait investir ou pas. Ce club était tout petit, il démarrait et on a fait des partenariats. Très rapidement, on a eu un partenariat avec l’un des plus grands clubs de business angels de France qui s’appelle Paris Business Angel qui est à Paris, évidemment comme son nom l’indique, et on avait accès également à ces séances-là et j’y ai tout de suite été puisqu’il y avait beaucoup plus d’investisseurs et surtout beaucoup plus de startups qui venaient pitcher. J’étais très content, je commençais à découvrir ce monde-là, j’ai fait mes premiers investissements, c’était très intéressant etc. Et finalement je me suis rendu compte que ce club qui était le plus connu, celui avec le plus de deal flow, de visibilité et de budget, ils investissent plusieurs millions d’euros par an chez Paris Business Angel. Finalement je n’aimais pas trop son fonctionnement, ils n’avaient pas forcément une très bonne réputation, je les aime beaucoup et s’il y a des gens de chez eux qui me regardent je les salue chaleureusement mais ils n’ont pas toujours bonne réputation. Dans l’ensemble ça va mais ils sont réputés pour avoir des process assez longs, une population assez âgée, ce qui n’est pas une mauvaise chose mais pour des cas de startups très technologiques c’est sûr que quand la moyenne d’âge, la moyenne d’âge est au-dessus de 60 ans, c’est peut-être parfois plus compliqué. Tout le monde ne comprend pas forcément tous les sujets très précis de blockchain, d’intelligence artificielle, etc. même si on parlait beaucoup moins d’intelligence artificielle et de blockchain en 2013 qu’aujourd’hui mais quand même et de faire des process assez longs, de mettre longtemps à se décider, des process assez lourds où ils demandaient d’entrée de jeu aux startups à faire signer des piles et des piles de documents, à faire auditer les trucs etc. etc. D’une part, donc ça je me suis dit bon c’est un peu lourd comme fonctionnement, est-ce qu’on ne pourrait pas faire plus simple ? Et d’autre part, c’était donc ce qu’on appelait de l’appel de fonds, c’est-à-dire qu’on était une centaine de business angels, d’investisseurs dans la salle, la startup venait présenter et puis on disait qui veut investir ? Et donc les gens levaient la main et disaient moi je veux investir, moi je veux investir. Et puis si tu veux pas investir, tu ne lèves pas la main, tu n’investis pas. Et j’ai vu, j’ai fréquenté ce club pendant un peu plus d’un an et j’ai vu des gens investir dans ce que moi, à titre personnel, je trouvais être n’importe quoi. C’était mon avis perso, j’étais tout jeune, je n’étais pas expérimenté donc je me disais bon, ils investissent ils ont leurs raisons, moi je n’y connais rien, peut-être que c’est moi qui ne comprends pas, voilà. Et puis plus ça allait, plus je me disais mais quand même, ils investissent dans ces boîtes, je ne comprends pas, moi je n’investirais vraiment pas là-dedans, c’est super bizarre, etc. Comment il espère avoir un retour sur investissement avec ça etc. ? Et puis le temps a passé puis j’ai vu que ben finalement les boîtes en question ne faisaient pas grand chose. Pas mal se plantaient et j’en ai parlé aux investisseurs du groupe et je leur ai dit mais pourquoi vous investissez là-dedans alors que vous voyez bien, ça se plante plus tard etc. Et les gens me disent oh oui mais c’est normal, 9 startups sur 10 se plantent. Et je me suis dit oui 9 startups sur 10 se plantent mais il y a quand même des cas où on voit des startups qui partent vachement mieux armées que les autres et des cas où on voit des startups où on se doute que ce n’est pas évident et qu’elles vont peut-être se planter. Et donc je me suis mis à formaliser ces critères sur papier. À chaque fois que j’allais dans cette réunion Paris Business Angel, j’écrivais, je disais ben là j’investirai pas pourquoi, telle et telle raison, pourquoi j’investirai pas, telle et telle raison. Et puis de temps en temps je voyais passer un super projet et je disais ah ben oui là j’ai envie d’investir. Je me disais tiens pourquoi j’ai envie d’investir ? Et je disais ben pour telle et telle raison, ça répond à tel et tel critère etc. Et donc au fil du temps, j’ai créé ces critères. Et puis je suis parti de Paris Business Angel, ça ne me correspondait plus pour les raisons que je viens d’évoquer. Et j’ai continué à investir de mon côté, j’ai eu la chance de rester en contact avec ce milieu-là, d’avoir des opportunités d’investissement mais en fonction de mes critères à moi. Donc je me suis dit on va voir ce qui se passe. Et donc fast forward à 3-4 ans plus tard en 2017, je me retourne en arrière, je vois les investissements que j’ai faits et je me dis bon alors, 9 startups sur 10 se plantent, est-ce que sur mes 10 investissements, en fait j’en ai fait un peu moins, j’en ai fait 7, maintenant 8, bientôt 9 d’ailleurs, est-ce qu’on en a à peu près 9/10 qui ont échoué ou pas ? Et je regarde et sur 8 investissements, j’avais fait deux exit positifs, c’est-à-dire non seulement j’étais sorti mais en plus on m’avait rendu plus d’argent que ce que j’avais investi, ce qui est quand même le but évidemment. 2 sur 8, c’est déjà énorme, un troisième pas échoué mais pas en très bonne posture donc celle-là effectivement peut-être “ratée”. Et les 8 moins 2 moins 1, 8 moins 3 cinq, les cinq restantes en super croissance, se portent très très bien, se développant, valant beaucoup plus qu’à l’époque où j’avais investi etc., pas encore sorti donc on gagne de l’argent que quand on sort mais très bien parti pour réussir. Et je me dis, putain c’est quand même bizarre, tout le monde dit 9 sur 10, moi je suis à 7 sur 8 qui cartonnent et une sur 8 échouée et je suis un peu dans le ration inverse, comment ça se fait ? Et je me suis dit ben ça doit être mes critères, je me suis dit qu’effectivement, ces critères-là, enfin je suis assez rapidement arrivé à cette conclusion. Moi je suis convaincu qu’aujourd’hui ces critères me permettent d’abord un bien meilleur ratio d’investissement que les autres, de faire des très bons investissements. C’est peut-être parce que, enfin c’est sûrement aussi parce que je m’intéresse aux startups depuis plus de dix ans, que j’ai créé 6 boîtes dans ma vie, que j’en ai échoué plusieurs et ce n’est pas bien d’échouer mais au final c’est hyper bien parce qu’on apprend énormément de choses et j’ai beaucoup beaucoup appris de mes échecs. Et j’ai travaillé dans plein de domaines différents dans les startups, du B2B, du B2C, online, offline, mobile, pas mobile, etc. donc j’ai un peu touché à tout et donc j’ai une compréhension de pas mal de domaines, pas mal de secteurs et je me suis dit bon avec ces critères maintenant je peux créer quelque chose mais où on ne va faire que des bons investissements. Il n’y a pas de raison pour qu’il n’y ait que moi qui en profite et donc j’ai créé Leonis, je me suis dit voilà, je vais créer un groupe avec des investisseurs comme moi, on va investir dans les super projets qui correspondent à mes critères dans lesquels je crois. Et donc j’ai créé ça, j’ai remarqué qu’il y avait un super engouement donc je me suis dit que ben évidemment je n’allais pas l’offrir gratuitement comme ça à tout le monde puisqu’évidemment en suivant mes investissements, les gens sont capables de gagner pas mal d’argent. Donc je me suis dit ben attends, évidemment moi je fais un certain boulot de recherche de ces startups etc. donc je ne vais pas proposer à la terre entière de gagner de énormément d’argent avec moi sinon, si tout le monde gagnait de l’argent, évidemment la richesse c’est relatif, si tout le monde s’enrichit, je ne m’enrichis pas plus que les autres, le but n’étant évidemment pas de s’enrichir. Mais quand même si on fait les choses bien, on n’est pas à l’abri de gagner un petit peu d’argent. Et donc évidemment j’ai décidé de filtrer avec une cotis’ et à ma plus grande surprise ça continue à très bien fonctionner comme ça puisqu’évidemment, et les gens s’en rendent bien compte, grosso modo dès le premier investissement rentable, tu rembourses ta cotis’ donc c’est hyper intéressant. Donc voilà l’histoire de Leonis. Aujourd’hui on en est au début, c’est les premiers 1% de l’histoire, ma vision à terme c’est d’avoir un millier d’investisseurs, aujourd’hui on est quelques dizaines, d’avoir un millier d’investisseurs qui peuvent tous investir en même temps, on se décide très rapidement en une semaine donc on est à l’inverse de tout ce qui se fait aujourd’hui avec cette population un peu vieillissante, même si je n’ai rien contre les gens qui vieillissent, moi aussi je vieillis, mais surtout avec des process longs, lents, lourds. Nous c’est du léger, on va très vite, on a des critères très précis et on passe tout ça au tamis fin et quand on voit des pépites et ben on fonce. On a fait des très très belles pépites depuis notre création ces 6 ou 8 derniers mois et je pense qu’on va avoir de très très belles boîtes encore dans les années à venir. Donc voilà la vision, si ça te parle er ben bien sûr tu es le bienvenu pour nous rejoindre et encore une fois la vision à terme c’est d’être 1 000. Si on est 1 000 et qu’on peut même mobiliser chacun par exemple 1 000€ par investissement, et bien on peut investir 1 million d’euros par startup de façon hyper souple et rapide, tout ça par Internet etc., en direct. Moi je fais beaucoup de live dans le groupe, donc les membres de mon groupe, quand j’entends parler d’une startup ils attendent pas un mois un process etc. pour en parler, je fais ma due diligence je regarde et quand je suis sûr d’y aller je fais un live en direct sur leur smartphone. Où qu’ils soient, et ben ils peuvent entendre parler de la startup, me dire s’ils décident d’investir ou pas etc. etc. Donc si ça t’intéresse, si tu adhères à cette vision d’investir dans les startups avec des petites sommes en mutualisant les moyens et dans des startups qui ont vraiment du potentiel en suivant mes critères qui aujourd’hui vraiment permettent de fonctionner et de suivre et ben tu es bien sûr le bienvenu pour nous rejoindre, tu n’hésites pas à rejoindre, je vais te mettre le lien dans la description YouTube, n’hésite pas, même si tu ne veux pas rejoindre mais que ça t’intéresse, tu peux bien sûr venir m’en parler, mettre un commentaire sur cette vidéo YouTube pour qu’on prenne contact. Si cette vidéo te plaît et que tu veux m’encourager, tu n’hésites pas à mettre un like et surtout tu n’oublies pas de t’abonner à la chaîne YouTube pour m’encourager à faire toujours plus de contenu et surtout recevoir toutes mes dernières vidéos et tous mes conseils d’investissement. Et c’est tout pour aujourd’hui, tu peux bien sûr recevoir les fameux critères d’investissement que j’ai mis au point. Tu peux les recevoir gratuitement avec le lien que j’ai mis dans la description de cette vidéo YouTube et ben c’est tout, je te dis à très bientôt pour une prochaine vidéo. Ciao !