Foodvisor : Comment 70 particuliers ont réussi à investir dans cette pépite

Dans cette vidéo, je vais te montrer comment les membres de mon club privé Leonis, ont été les seuls Français à pouvoir investir dans Foodvisor, la pépite française qui cartonne aux U.S. Comment se fait-il qu’un particulier comme moi, ait eu accès à une telle opportunité d’investissement? Reste bien jusqu’à la fin de la vidéo, car je vais te dire comment, toi aussi, tu peux investir dans des pépites en forte croissance en France et dans la Silicon Valley, même si tu n’as pas des millions à investir. Si tu ne connais pas Foodvisor, c’est une application qui reconnaît, à partir d’une simple photo, ce qu’il y a dans ton assiette, la quantité et la valeur nutritionnelle de tes aliments, pour te permettre de manger mieux. Ils ont plus de 2 millions de téléchargements dans le monde, et sont passés récemment sur M6 dans l’émission « Qui veut être mon associé ? »

Un jour, un membre de mon club privé, me dit qu’il veut que je rencontre un entrepreneur ambitieux et je rencontre Charles, ici, à Station F, le fondateur de Foodvisor, d’ailleurs, je découvre un entrepreneur exceptionnel et une boîte à très fort potentiel. Je suis très impressionné par sa capacité à tester en permanence des nouveaux business modèles, de nouvelles idées sur son application, à remettre en question, à se remettre en question sans cesse, pour améliorer le produit continuellement. Foodvisor a même développé un outil qui lui permet en temps réel, de proposer cinq – dix modèles différents de son application aux utilisateurs, afin de déterminer chaque jour quels modèles convertissent le mieux, ou quels modèles permettent de rester plus longtemps sur l’application et potentiellement, bien sûr, de rapporter le plus d’argent.

Dans les jours qui suivent, ma rencontre avec Charles, je décide d’investir dans Foodvisor à titre personnel, je décide également de proposer aux clubs privés, d’investir avec moi. Le problème, c’est que le projet Foodvisor est tellement intéressant qu’il y a de très nombreux fonds d’investissement, de très nombreuses personnes qui veulent se positionner sur ce deal, qui en ont fait part à Charles, et donc Charles a trop d’argent, et il va être obligé de refuser certains investisseurs.

Évidemment, entre un fonds d’investissement ultra renommé, connu, et qui existe depuis des dizaines d’années, et le club Leonis, un investissement qui est tout jeune, et bien il paraît évident que la décision de Charles et de l’équipe, se portera vers le gros fonds d’investissement. Et donc, j’ai finalement très peu de chance de pouvoir avoir le même le droit d’investir dans Foodvisor, et pourtant, j’indique à Charles que ça m’intéresse, je lui dis que je souhaite évidemment investir, que j’y crois, que j’ai envie de l’accompagner et je lui demande de me réserver une petite part de sa levée de fonds, de laisser bien sûr de la place à tous les autres, et à tous les fonds d’investissement, mais de me donner une petite place au capital. Charles me dit OK, on va voir ce qu’on peut faire, je reviens vers toi, et j’entre à ce moment-là dans ce que j’appelle la vallée de la mort, c’est à dire que j’attends finalement le retour de Charles. J’attends qu’il dise si oui ou non, je vais pouvoir investir.

 

C’est une situation un peu particulière, et j’y suis pas vraiment habitué, puisque mon métier à moi c’est de refuser 99,9% des dossiers que j’analyse. Du coup, ça veut dire que quand je trouve un dossier qui me plaît, comme je venais de le faire pour Foodvisor, eh bien j’ai très, très envie d’y investir, et je n’ai pas du tout envie que mon travail de sélection se termine par un « Non, désolé, tu ne peux pas investir, il n’y a plus de place ». Donc c’est une situation inverse de l’habitude, d’habitude c’est les entrepreneurs qui veulent absolument et c’est moi qui refuse. Là, c’est moi qui veux absolument investir, et c’est l’entrepreneur qui ne refuse pas, mais qui ne dit pas « Oui » pour le moment.

Comme tu t’en doutes, l’attente est interminable, plus les jours passent, plus j’angoisse est tous les jours j’ai presque la peur au ventre en ouvrant ma boîte mail, et je m’imagine que je vais découvrir un mail qui me dit « Désolé, finalement on a décidé de partir avec quelqu’un d’autre », et je me dis chaque matin en me réveillant « Est-ce que c’est le jour où je vais rater cet investissement, parce que j’ai acquis une conviction tellement forte que c’est un bon investissement, que je veux absolument y investir. »

Évidemment, je ne suis donc pas le seul à avoir cette conviction. C’est alors que je décide de ne finalement pas rester passif face à cette situation, et je décide de pro-activement écrire à Charles et de lui apporter un certain nombre d’éléments, de lui écrire plein de choses, de lui donner plein d’idées, lui apporter de la valeur. Bien sûr, Charles il a un choix à faire, il doit sélectionner quels investisseurs il va laisser entrer dans son capital, et le choix il va se porter sur tout un tas d’éléments, sur le réseau que peut apporter l’investisseur, mais aussi la valeur qu’il peut lui apporter, comment il peut challenger ses idées, comment il peut l’aider, comment il peut l’accompagner, les raisonnements qu’ils vont être capable de mettre en place, etc. Et donc, je décide d’entrer dans ce jeu-là et de montrer, de prouver à l’équipe de Foodvisor, que j’ai vraiment des choses à leur apporter, et donc, j’écris des mails régulièrement, pas tous les jours, mais pendant plusieurs semaines, j’écris des mails sur différents sujets en disant « Tiens, est-ce que vous avez vu ce qui se passe dans ce secteur qui ressemble à vous? Je voudrais revenir sur tel point dont on a parlé ensemble, et vous challenger en vous disant que vous êtes sûr que c’est la bonne façon, est-ce qu’il n’y aurait pas une meilleure façon ? », et donc apporter de la valeur.

Visiblement, ça a fonctionné, puisque la réponse de Charles finit par arriver, et comme tu t’en doutes, il m’a effectivement proposé d’investir dans Foodvisor, à la fois à titre perso et avec le club privé. J’en étais évidemment ravi et donc j’ai proposé aux 90 membres à l’époque, dans le club il y avait 90 membres, d’investir dans Foodvisor, et sur les 90 il y en a 70 qui ont accepté. Donc, nous sommes devenus actionnaires de Foodvisor.

Évidemment, on en est extrêmement fier, et l’histoire, pour l’instant, elle en est là, on est actionnaires. Le Foodvisor connaît un développement fulgurant, ça va, ça va très, très vite et on a très, très hâte de voir la suite et de voir comment ça va se développer.

 

Pour terminer, je voudrais te parler d’une application qui s’appelle MyFitnessPal, c’est une application sur mobile qui permet de faire la même chose que se propose sur Foodvisor, à savoir compter chaque jour tes calories, et savoir ce que tu mets dans ton assiette. L’énorme différence, c’est qu’il n’est pas du tout toute la brique de reconnaissance d’images d’intelligence artificielle, il faut simplement rentrer, toi-même, à la main, les informations sur ce que tu viens de manger, ce que tu vas manger.

C’est un procès assez laborieux, ce qui fait que finalement, puisque ça va beaucoup plus vite, il y a beaucoup plus de gens qui utilisent l’application, qui restent sur l’application et qui reviennent sur l’application, donc, ça veut dire que l’application fonctionne et fonctionnera à priori beaucoup mieux, puisqu’elle est beaucoup plus simple. Cette société MyFitnessPal s’est fait racheter par la célèbre marque d’équipements sportifs Under Armour, en 2015, pour 475 millions de dollars. Si un jour Foodvisor se faisait racheter au même prix, évidemment, il s’agit que de spéculations, d’ailleurs, comme la technologie évolue il pourrait se faire racheter plus cher, et il pourrait se faire racheter moins cher, mais si un jour il se faisait racheter au même prix, eh bien, les investisseurs chez Leonis Investissement, qui ont investi dans cette levée de fonds lorsque je l’aurais proposé, auraient un retour sur investissement, où ils multiplieraient leur argent par 37, c’est à dire que les membres du club, qui ont investi 2000 euros, récupérerait 74.000 euros de bénéfices de plus-values, sur leur investissement.

Evidemment, il ne s’agit que de conjectures pour le moment. Si ça t’intéresse de faire ce genre d’investissement à fort potentiel, tu peux rejoindre le club privé Leonis, j’analyse plus de 3000 dossiers par an et je sélectionne mes 10 à 15 meilleures pépites en France et dans la Silicon Valley, dans lesquelles j’investis mon propre argent perso, et dans lesquelles je propose aux membres du club d’investir avec moi.

Attention, le club Leonis Investissement est un club privé, il ne correspond pas à tout le monde, il correspond aux investisseurs qui veulent prendre des risques intelligents, pour investir dans les startups à fort potentiel, et espérer un meilleur rendement que ce que leur propose leur banque. Il est également réservé aux investisseurs qui ont plus de 10.000 euros par an à investir dans les startups. Si tu te reconnais dans cette description et que tu veux investir dans les startups à fort potentiel en France et dans la Silicon Valley, tu peux postuler pour rejoindre le club, avec le lien qui est dans la description.