Les nerds vont (encore) changer le monde avec le Web3

 

Introduction

 

 

Lui, c’est Juan Benet, le CEO de Protocol Labs.

 

Dans cet extrait, il annonce l’arrivée d’un changement majeur sur l’Internet.

 

Un changement qui va, selon ses dires, bouleverser toute notre espèce.

 

Cette révolution, c’est le Web3.

 

Peu sont ceux qui l’ont vu venir, et au final, seuls quelques élus savent vraiment ce que c’est.

 

Mais Juan est persuadé que le futur est là, dans cette technologie.

 

Malheureusement, cet extrait date de 2018, et même si aujourd’hui les choses avancent à une vitesse folle, il y en a une qui semble stagner, le Web 3.0.

 

En trois ans, peu de choses ont réellement évolué.

 

Bien sûr, l’arrivée de la blockchain et des crypto-monnaies a modifié le paysage de la finance.

 

Mais de là à parler d’un bouleversement de notre espèce…

 

On en est loin.

 

Cette technologie est encore trop jeune pour qu’on puisse être aussi catégorique.

 

Et on n’est pas à l’abri d’un échec.

 

Encore aujourd’hui, le Web3 n’est utilisé que par une poignée de personnes dans le monde.

 

Ses usages sont encore limités et on imagine difficilement ce qu’on pourrait réellement en faire. 

 

Alors comment ça pourrait changer le monde ?

 

Est-ce que le Web3 est vraiment le futur de notre espèce ?

 

C’est exactement les questions que tout le monde se posait en 1994 lorsqu’Internet est devenu accessible au grand public.

 

Et depuis cette date, les règles de notre société ont radicalement changé. 

 

Que ça soit notre manière de communiquer, notre façon de gouverner, et même notre manière de travailler.

 

Tout à évolué !

 

C’est grâce à Internet que des entreprises comme Amazon, Google, Facebook, Netflix, etc. ont pû naître.

Et aujourd’hui, ces entreprises qui ont surfé sur la vague Internet, sont parmi les plus grosses du monde.

 

Selon moi, le Web3 représente le même genre d’opportunité.

 

C’est dans cet environnement que vont évoluer les entreprises géantes de demain.

 

Et tout le monde peut s’y lancer.

 

Mais pour réussir à trouver les perles, il faut savoir où regarder. 

 

Partie 1 : Le Web 3.0, c’est quoi ?

 

Alors évidemment, si tu ne connais pas le Web3, tu dois me regarder avec des yeux grands ouverts et te dire un truc du genre :

“Mais de quoi il me parle celui-là ?”

 

Ne t’inquiètes pas, je vais t’expliquer ce que c’est.

 

Pour mieux te parler du Web3, il faut d’abord que je te parle du Web dans son ensemble.

 

Le Web1, où Web 1.0 est arrivé pour le grand public à la fin des années 90.

 

Évidemment, on était loin de ce qu’on connaît aujourd’hui en matière d’Internet.

 

Mais c’était suffisant pour apporter une révolution au monde. 

 

Grâce au Web1, les développeurs ont pu créer du contenu et le partager massivement sans contrainte physique.

 

Bien entendu, tout le monde ne pouvait pas publier du contenu,il fallait savoir coder en HTML.

 

Mais tout le monde pouvait y avoir accès.

 

Les spécialistes parlent du Web1 comme le web en lecture seule.

 

C’est grâce à cet Internet du contenu que des grosses entreprises ont pu émerger.

 

Des entreprises comme Google où Amazon, qui ont compris l’opportunité que cela pouvait représenter.

 

Google a compris que si on créait un espace qui permet au gens de naviguer plus simplement on pouvait s’assurer d’être utilisé par tous.

 

Du côté d’Amazon, Jeff Bezos a compris qu’on pouvait créer des places de marché en ligne.

Très rapidement, le web est devenu l’Internet de la consommation.

 

Tous les utilisateurs se connectaient sur le web pour se renseigner, acheter en ligne, où communiquer par email. 

 

Puis, en 2004, le Web s’est transformé.

 

Introducing le Web 2.0 !

 

L’idée derrière le Web2, c’est de rendre Internet encore plus accessible, encore plus libre !

 

Le partage, voilà le mot clé du Web 2.0 !

 

Désormais, plus besoin de coder tout une page en HTML pour partager ses opinions sur un sujet.

 

Il suffit de se connecter sur une plateforme et de créer.

 

Ces plateformes, tu les connais forcément.

 

D’ailleurs, tu utilises l’une d’entre elles en ce moment !

 

Au cœur du web social, il y a ces noms : YouTube, Facebook, Twitter…

Au début, peu de monde les utilisait.

 

Mais au fur et à mesure, elles se sont imposées comme la nouvelle norme.

 

Elles ont grossi, sans arrêt, et sont aujourd’hui des géants.

 

Souviens-toi des débuts de Facebook.

Au départ, c’était l’outil imaginé par un geek au fond de son dortoir à Harvard pour noter les filles avec ses potes.

 

Seulement quelques années plus tard, c’est devenu l’une des plus grandes entreprises au monde.

 

Ce point de départ est important.

 

Les geeks comme on les appelle, ont souvent été le point de départ des plus grandes entreprises de ces 30 dernières années.

 

Jeff Bezos, Mark Zuckerberg, Elon Musk…

 

Tous des geeks ! 

 

Des gens passionnés par l’innovation et capables de comprendre le potentiel des opportunités qui s’offrent à eux.

 

Mais qui dit opportunité dit danger.

 

Bien sûr, le Web2 a révolutionné notre approche d’Internet mais il est arrivé accompagné de gros problèmes.

 

Des problèmes de sécurité et de vie privée.

Quand tu surfes sur un serveur privé, toutes les données que tu envoies (et tu en envoies en permanence) peuvent être récupérées.

 

Ces données sont ensuite utilisées en général à deux fins.

 

Rendre les pubs plus performantes où les revendre à d’autres organismes privés.

 

Et quels sont les deux moyens utilisés par les géants comme Google, Facebook, ou YouTube pour gagner de l’argent ?

 

La pub ou la revente de données.

 

Tu dois voir où je veux en venir, cela a posé, et pose encore de gros problèmes aujourd’hui.

 

Pour remédier à ces problèmes, des ingénieurs ont créé une technologie qui permet d’ouvrir les serveurs.

 

Cette technologie, c’est la Blockchain.

 

Tu dois en avoir entendu parler, tout le monde a ce mot à la bouche. Surtout si tu es abonné à ma chaîne YouTube. 


D’ailleurs, ça ne serait pas le moment de s’abonner ? 🙂 

 

La blockchain, concrètement, ça permet à n’importe qui de vérifier l’authenticité et la véracité d’un événement.

 

Que ça soit une transaction, un échange de données etc.

 

Et le plus fort dans tout ça, c’est que ça se fait sans passer par un serveur centralisé.

 

Grâce à ça, chacun est responsable et propriétaire de ses données.

 

Cela permet de créer un nouvel Internet.

 

Un Internet plus libre, plus sécurisé, plus indépendant.

 

Le Web3, c’est la naissance de l’Internet décentralisé.

 

La technologie est là, et tout ce qu’il reste à trouver pour donner au Web3 le boom des deux dernières générations, c’est des applications.

 

Certaines sont déjà là, je pense aux crypto-monnaies et aux NFT.

 

D’ailleurs, si tu veux en savoir plus à ce sujet, j’ai fait une vidéo qui en parle. 

 

Tu peux la trouver en cliquant ici 

(Pourquoi l’Ethereum est la VRAIE réserve de valeur).

 

Les autres sont encore à découvrir.

 

Grâce à ce Web 3.0, les utilisateurs sont enfin au cœur de l’expérience. 

 

En retrouvant la propriété de nos données, on retrouve la liberté d’en faire ce qu’on veut.

 

On peut imaginer un Internet où les utilisateurs pourront vendre leurs données, louer leur espace de stockage et bien d’autres choses.

 

Et bien sûr, à côté des utilisateurs, il y a les entrepreneurs.

 

Ils sont déjà là, les geeks du Web 3.0.

 

Prêts à trouver l’utilisation ultime, celle que tout le monde utilisera.

 

L’application qui émergera comme le nouveau géant. 

 

Mais il faut encore la trouver !

 

Même si on parle du Web3 depuis 2018, cela reste un projet encore jeune.

 

Et pour le moment, il est encore difficile de savoir si le Web3 est bien la prochaine grosse révolution

Partie 2 : Un Web encore trop jeune

 

Le Web3 est un projet rempli de promesses.

 

C’est sûr que l’idée d’un Internet encore plus libre et décentralisé doit en faire rêver plus d’un.

 

Mais pour qu’un projet révolutionne notre monde, il faut déjà qu’il soit solide.

 

Le problème du Web 3.0 est qu’il est un projet encore trop jeune.

 

Il n’y a qu’à voir combien sont les utilisateurs.

 

En avril de cette année, MetaMask, l’un des plus gros fournisseurs d’accès au Web3 enregistrait 5 Millions d’utilisateurs mensuels. (Source)

 

C’est bien entendu énorme pour un projet émergent.

 

Cependant, ça ne tient pas la concurrence avec le Web2.

 

Seulement 5 Millions d’utilisateurs du Web3 sur près de 4.66 Milliards d’utilisateurs d’Internet. (Source)

 

Ça représente seulement 0.001% des gens qui surfent sur Internet.

 

Le souci avec ça, c’est que pour que le Web3 devienne une révolution mondiale, il faudrait qu’une masse critique d’utilisateurs le rejoigne.

 

Cette masse permettrait au Web3 de bénéficier des effets d’échelle et donc de se développer et de se démocratiser plus vite.

 

Mais si le nombre d’utilisateurs était le seul problème, ça irait encore.

 

Un autre souci avec le Web3 est la vitesse à laquelle vont les transactions.

 

Aujourd’hui encore, les transactions passant par un système décentralisé sont très lentes.

 

Le problème vient de la nature même du système.

 

Pour que les informations transitent, que ça soit des changements d’état ou des paiements, il faut qu’elles soient traitées puis propagées sur un réseau très large, maintenu par des milliers d’utilisateurs, à l’intérieur d’une blockchain.

 

Parce que ce sont les utilisateurs qui font vivre ce réseau.

 

L’information est validée en passant par tous les ordinateurs faisant partie du réseau.

 

Ce qui prend bien plus de temps que si l’information devait juste être stockée sur un serveur centralisé.

 

C’est sans compter en plus la distance qui pourrait séparer deux personnes du même réseau, qui peut encore ralentir la vitesse de traitement de l’information.

 

Une fois ces problèmes énoncés, il en reste un autre de taille.

 

Que faire du Web3 ?

 

Pour que cette technologie représente une révolution de notre espèce, comme le dit Juan Benet, il faudrait lui trouver des applications concrètes.

 

Mis à part les cryptos et les NFT, on ne sait pas encore réellement quoi faire du Web3.

 

En comparaison, le Web1 est venu accompagné de places de marché en ligne et de moteurs de recherche.

 

Le Web2 est arrivé avec des réseaux sociaux et des systèmes de récupération et de monétisation des données.

 

Quelles seraient les applications qu’il faudrait créer pour que le Web3 devienne un indispensable, la nouvelle norme ?

 

Tant que cette question n’aura pas trouvé sa réponse, il sera difficile pour beaucoup de croire en cette technologie.

 

Et c’est là un problème important pour le Web3.

 

Beaucoup semblent enthousiastes à l’idée de cette nouvelle technologie.

 

Mais finalement, très peu sont réellement convaincus.

 

Déjà parce que ça reste encore un projet.

 

Un projet qui n’est pas sûr à 100% d’aboutir.

 

À ce jour, on ne sait toujours pas si les économies d’échelle réalisées grâce à l’exploitation d’applications décentralisées se concrétiseront.

 

D’autant que pour certains, un service contrôlé par des autorités centralisées ou par une seule entreprise semble plus cohérent.

 

Ces autorités centralisées seraient, selon eux, plus à même de répondre rapidement aux demandes du marché.

 

En somme d’apporter rapidement ce que le consommateur demanderait.

 

De plus, les utilisateurs grand public ne seraient tout simplement pas assez enthousiastes à l’idée de cette technologie.

 

Peu sont ceux qui se soucient réellement de l’exploitation de leur données.

 

Ajouter cela à une méfiance générale à l’égard des cryptos à grand coup de :

 

“Ça ne peut pas fonctionner”

 

“Ça ne va rien changer”

 

Ou encore de “c’est un piège, je vais y perdre mon argent”.

 

Et tu as là tous les ingrédients pour dire que le Web3 ne serait juste pas adapté au marché.

 

Le Web3 a encore des problèmes à résoudre et doit faire mieux pour parvenir, un jour, à remplacer le Web2.

 

Même si à la lumière de cette nouvelle technologie le Web2 pourrait paraître obsolète, il reste bien plus performant que le Web3 sur plusieurs aspects.

 

En cas de litiges, par exemple, les systèmes centralisés sont bien plus efficaces que les systèmes décentralisés.

 

En cas de conflits de données, la résolution est claire et facile : la source de vérité est l’autorité centrale.

 

Alors qu’avec un système décentralisé, un protocole (souvent complexe) est nécessaire pour le règlement des litiges.

 

La coordination entre les participants du réseau est beaucoup plus facile sur un système centralisé.

 

Alors que sur un réseau décentralisé, aucun agent n’a le dernier mot sur les décisions prises au niveau du réseau.

 

Enfin, il faut comprendre que la plupart des applications décentralisées (ou Dapps) ne publient qu’une petite partie de leur code sur la Blockchain.

 

Lorsqu’une application voit le jour, elle doit publier son code sur un serveur pour pouvoir fonctionner.

 

Le souci avec la Blockchain, c’est qu’une telle opération coûte cher.

 

Résultat, il y a toujours plus d’applications sur le Web2 alors que très peu d’applications peuvent voir le jour sur le Web3.

 

Tous ces éléments nous prouvent que l’Internet décentralisé à encore une très grosse marge de progrès.

 

Pour qu’il puisse devenir une révolution, les systèmes décentralisés doivent devenir plus performants.

 

Les ingénieurs derrière le Web3 doivent réussir à fluidifier et augmenter le débit de données. 

 

Ils doivent aussi trouver un moyen pour rendre les systèmes décentralisés au moins aussi faciles à implémenter que les systèmes centralisés. 

 

Et surtout, ils doivent trouver un moyen pour réduire la quantité de ressources informatiques nécessaires au bon fonctionnement du Web3.

Mais des signes sont là !

Certaines choses semblent indiquer que le Web3 est sur le point de devenir la prochaine révolution.

 

Une révolution qui, comme le disait Juan Benet, va redéfinir notre espèce.

 

Partie 3 : La prochaine grosse révolution

 

Ça ne sera peut-être pas demain, où même dans un an.

 

Mais la prochaine révolution arrive plus vite qu’on ne le pense.

 

Il y a des signes annonciateurs.

 

En tant qu’investisseur malin, il faut être en mesure de flairer ces opportunités naissantes.

 

Je t’ai dit qu’un des enjeux pour que le Web3 devienne une révolution est qu’on y trouve des applications.

 

Eh bien c’est en train de se passer sous nos yeux !

Aujourd’hui, plein de nouvelles startups voient le jour pour donner des applications au Web3.

Des startup comme FileCoin, qui veulent permettre à des particuliers ou à des entreprises de louer leur espace de stockage.

 

Imagine un peu, grâce à ça, n’importe qui pourrait louer son espace de stockage comme on peut louer un garage ou une maison.

 

D’autres startups comme Theta Network proposent de créer de nouvelles plateformes de streaming de vidéo.

Oui oui, tu as bien compris, je te parle d’un nouveau YouTube !

 

IPFS, est une startup qui veut utiliser le Web3 pour créer des environnements numériques sécurisés.

 

Des environnements qui permettraient d’éviter la censure.

 

Ces startups viennent répondre à de nouveaux problèmes entourant la sécurisation des données utilisateurs.

 

Même la NASA se penche sur le Web3 pour rendre ses données immuables !

 

Avec l’arrivée de ces nouvelles startups, c’est tout l’écosystème des entreprises qui se voit chamboulé.

 

Par leur simple existence, ces startups pourraient rendre les plus anciennes obsolètes.

 

Si les utilisateurs deviennent propriétaires de leurs données, c’est tout le système de monétisation des anciens mastodontes qui s’envole.

 

Toutes ces entreprises vont elles aussi devoir s’adapter au Web3.

 

Si Facebook ne fait rien, Steemit pourrait finir par l’éclipser au moment du boom du Web3.

 

D’autant que l’arrivée de ces nouvelles startups est accompagnée par l’arrivée de nouveaux modes de financement.

 

Radicl est une startup qui permet aux actionnaires d’une boîte de mieux participer lors  des prises de décisions grâce à la Blockchain.

 

GitCoin, pour sa part, permet de payer les développeurs qui travaillent sur des projets Open Source en crypto-monnaie. 

 

Enfin, d’autres projets comme Yearn, Uniswap, ou encore SuperRare veulent permettre à des startups de se “tokenifier” pour les aider dans leur financement.

 

En somme, une startup pourrait, lors de son lancement, créer un nombre défini de Tokens qui la représente. 

 

Lorsque quelqu’un voudra investir dans cette startup, il lui suffira d’acheter une partie de ces Tokens.

 

Tous ces moyens rendent plus facile le développement de nouvelles applications !

 

Concrètement, le développement du Web3 est prometteur.

 

Il présente des similarités avec l’arrivée du Web1 dans les années 90.

 

Jeff Bezos qualifie ce genre de périodes comme des “Critical Category Formation Time”.

 

C’est comme ça qu’il définissait la période durant laquelle il a créé Amazon.

 

En soit, c’est un terme très compliqué pour définir quelque chose qui ne l’est pas.

 

Cela définit un mouvement qui a une petite pénétration, peu d’utilisateurs mais une traction en hausse, qui suscite un intérêt grandissant tout en présentant une grosse croissance, mais surtout qui propose des opportunités jamais vues.

 

Le Web3 est justement un mouvement comme ça.

 

Les transactions sont encore lentes, la pénétration aussi, mais l’intérêt porté par le monde entier ne cesse de grandir.

 

Le Web3 est un environnement qui pourrait voir naître des entreprises au même potentiel qu’Amazon !

 

Il n’y a qu’à voir l’évolution de la valeur des Web3 tokens pour s’en rendre compte.

 

Leur performance moyenne est d’environ 250% !

C’est déjà énorme, mais dit toi que certains de ces jetons comme Livepeer, Hélium, ou encore Bittorrent ont vu leur valeur augmenter de +1000% !

 

 

 

Le plus fou dans tout ça, c’est que lorsqu’on ne considère que les projets de premiers plans comme The Graph, FileCoin, Hélium et Livepeer, on peut voir que la capitalisation boursière des jetons Web3 s’élève à moins de 15 Milliards de dollars.

 

Ce qui ne représente que 2% de la capitalisation boursière totale de Bitcoin.

 

Dis toi que la valeur de ces jetons a encore beaucoup de marge de progrès.

 

Pour le moment, les investisseurs sont encore méfiants à l’égard du Web3.

Et c’est une opportunité en or !

Comme le disait Warren Buffet : “soyez arrivistes quand les autres ont peur “.

Ça ne fait qu’un an que la valeur des Web3 tokens en DeFi (Finance Décentralisée) augmente.

 

Et en seulement un an, leur capitalisation boursière est passée de 5 Milliards au début de 2020 à plus de 50 Milliards !

Et ce, avec peu de monde pour le supporter.

 

Imagine un peu dans 5 ans, quand tout le monde s’arrachera ces tokens.

 

Leur capitalisation explosera et les investisseurs les plus malins, ceux qui auront su voir cette révolution à ses débuts, s’en ressortiront plus enrichis que n’importe qui.

 

Ça sera comme s’ ils avaient investi dans Facebook, Google, ou Amazon au début de ces entreprises.

 

Conclusion

 

Le Web3 est encore jeune.

Pourtant, de plus en plus de gens sont enthousiastes vis-à-vis de cette technologie.

 

L’arrivée d’un Internet Décentralisé représente une mine d’opportunités pour les entrepreneurs, les développeurs et les investisseurs.

 

Cela va faire maintenant 3 ans que le Web3 est utilisé par une petite communauté d’utilisateurs.

Et depuis trois ans, le nombre d’utilisateurs ne fait qu’augmenter.

 

La capitalisation des Tokens Web3 crève le plafond, et des dizaines d’applications révolutionnaires voient le jour.

 

Nous sommes sur le point d’assister à une révolution qui va redéfinir les règles du jeu.

 

Une révolution qui va bouleverser notre monde et notre manière d’utiliser Internet.

 

Au milieu de cette vague révolutionnaire se trouvent des startups au potentiel explosif.

Des startups qui ont le potentiel de devenir les géants de demain.

 

Le souci, c’est qu’il est presque impossible pour des investisseurs particuliers d’investir sur ces startups.

 

La faute à un système bien rodé où seuls les plus riches y ont accès.

 

Mais comme je le dis souvent, la force vient du nombre.

 

Depuis plus de 4 ans, je permets à des particuliers d’investir avec moi dans des opportunités hors-normes issues de la Silicon Valley grâce au club privé Leonis Investissement.

 

En étant membres de cette communauté unique, ces particuliers peuvent investir dans des startups du Y Combinator, le plus grand incubateur de startups au monde.

 

Le Y Combinator n’est d’ailleurs pas étranger au web3, puisqu’ils ont incubé OpenSea, la + grosse plateforme d’achat / vente de NFT au monde. 

 

Toi aussi, tu pourrais faire partie de ce club privé et investir à partir de 2500€ dans ces startups à fort potentiel qui peuvent multiplier ta mise initiale par 10, par 100, ou même par 1000 !

Ça se passe juste ici. 😉